peuple de l'eau
Un·e moldu·e contaminé·e ne peut pas avoir d'autre particularité — iel n'étant pas sorcier et bénéficiant déjà de deux aptitudes.
Les sorcier·e·s peuvent cumuler jusqu'à deux particularités de catégories différentes (exemple : un vampire ne peut pas être daemonis ; un·e fae ne peut pas être vélane).
Hérédité De nature
héréditaire, le gène spécifique aux êtres de l’eau est transmis à la descendance, mais peut demeurer
inactif. Ainsi, un·e sorcier·e issu·e d’un triton et/ou d’une sirène n’est pas forcément voué·e à l’être à la naissance. Iel
demeurera alors similaire en tout point
aux sorcier·e·s lambda et n’aura pas de réelle appartenance avec ce peuple, élevé·e à la
surface par sa·on parent sorcier. En revanche, si le gène est
actif et l’enfant naît sirène ou triton, iel
dépendra du royaume
sous-marin où iel sera élevé·e par son parent sirène/triton.
Caractéristiques Êtres de l’eau évoluant en son sein, iels possèdent — et ce, dès la naissance,
une queue de poisson aux écailles
duochromes, des branchies et doigts palmés leur permettant de se mouvoir. Il est vital pour elleux
d’être placé·e·s dans l’eau une fois
extraits du ventre maternel, sous peine de ne pas pouvoir
respirer, ne maîtrisant pas encore
leur transformation humaine.
Avec l’apprentissage vient la capacité de
muer la queue en une paire de jambes, rétracter ses branchies et palmes, afin d’évoluer sur la
terre ferme. Le
moindre contact avec la substance aqueuse les ramène toutefois à leur forme d’origine s’iels ne possèdent pas l'entraînement
adéquat. Pour pallier à cela,
une potion a été créée, les maintenant sous leur forme humaine pour une durée limitée. Les contreparties sont
cependant lourdes et les prises doivent être rapprochées pour que l’effet persiste, les
saignements de nez récurrents se muant par la suite
en
aiguilles sous la plante des pieds puis en
faiblesse généralisée, les jambes lâchant sans plus réussir à supporter le poids du corps.
L’appel de la mer reste dans tous les cas dévorant, qu’importe que l’individu soit en communion ou non avec ses racines et son identité. Il
lui faudra
s’immerger s’iel ne veut pas dégrader sa santé, risquant le cas échéant d’éprouver
des malaises, étourdissements, maux de tête,
ainsi qu’une faiblesse généralisée et persistante, et par la suite, développer
diverses carences. Iel entrera alors en phase de
déshydratation avancée, la sensation de soif inassouvie le·a drainant et le·a rongeant, forcé·e de boire environ 3L d’eau par jour afin de
compenser le manque d’eau.
Leur
voix est une arme dont la mélodie chantante est
fortement persuasive, aptes à manipuler autrui sans qu’iels n’en aient conscience.
D'un simple
"j'ai entendu dire que...", tournure essentielle à l'enclenchement du don, la personne est sous influence. Le
secret se
transmet de sirène en sirène, ces dernières se gardant bien de partager la clé aux sorcier·e·s qui ne se souviennent pas de ce qu'iels ont
pu entendre. Attention toutefois à ne pas dépasser les limites,
l’équilibre restant subtil entre persuasion et contrainte, sous peine de
risquer de déclencher
un mécanisme de défense.
Relation avec les sorcier·e·s peuple pratiquement
autonome grâce au
commerce de ressources sous-marines — comprenant ingrédients
de potions, baguettes et trésors engloutis, l’entente avec les sorcier·e·s est
cordiale. Leurs enfants sirènes/tritons sont
scolarisés
parmi eux, mais restent voués à retourner vivre dans leur cité engloutie, l’inverse étant
très mal considéré.