Particularités innées
Troisième œil

Un·e moldu·e contaminé·e ne peut pas avoir d'autre particularité — iel n'étant pas sorcier et bénéficiant déjà de deux aptitudes. Les sorcier·e·s peuvent cumuler jusqu'à deux particularités de catégories différentes (exemple : un vampire ne peut pas être daemonis ; un·e fae ne peut pas être vélane).

Hérédité : Particularité se voulant génétique, être oracle signifie avoir un ancêtre possédant le don du troisième œil dans son arbre généalogique. L’héritage n’est toutefois pas systématique et il est fréquent que des générations sautent, la nature de la divination elle-même n’étant pas forcément celle de sa·on prédécesseur·se mais bien liée à sa personne propre. Ainsi le don d’oracle peut remonter à son père comme à son arrière arrière arrière grand-mère, tout comme ces derniers peuvent être affiliés au sang quand l'affinité du/de la descendant·e va à la lumière.

Caractéristiques : Possédant un instinct peu commun, l’oracle est parcouru·e de visions passées et futures d’une clarté et longévité variable suivant le niveau de maîtrise. Le déclencheur est propre à chacun·e, allant des cartes à la boule de cristal en passant par le toucher, tout comme la nature de la vision, certain·e·s entrant en transe tandis que d’autres le voient en rêve. La voyance n’est toutefois pas la seule corde à leur arc, maîtrisant également divers rituels, malédictions et bénédictions.

Les oracles appartenant à quatre ordres distincts, c’est l’affinité magique qu’iels possèdent qui les répartit dans l’un d’eux. A savoir qu’on ne peut changer d’inclination, celle-ci intrinsèquement liée à nous, à moins que notre nature profonde soit drastiquement altérée comme par exemple, avec une transformation vampirique.

⭢ Les oracles de sang pratiquent l'hématomancie, l'utilisant pour leurs rites et traditionnellement en pacte avec des vampires. Iels sont à l’origine de leurs artéfacts familiaux, le sang du/de la voyant·e encapsulé magiquement dans une boucle d’oreille leur permettant de sortir à la lumière du jour. Iels acquièrent en contrepartie longévité et pouvoirs renforcés.

⭢ Les oracles nocturnes s’en remettent aux astres et lisent l’avenir dans le ciel, traditionnellement lié·e·s aux loups. Iels sont les seuls capables de pouvoir soigner une morsure, amenant à une transformation et non à la mort. Iels se chargent également du tatouage rituel permettant d’apaiser la cicatrice, encre mêlée à la poussière d’étoile et baignée par la pleine lune. Iels adoucissent ainsi le quotidien des loups tous les quarts d’année, la meute tatouée ensemble pour favoriser le partage d’énergie.

⭢ Les oracles de lumière sont attiré·e·s par l’astre solaire, ses rayons leur permettant d’entendre les chuchotis du monde, hypothèses ou certitudes fredonnées dans leurs esprits et s’y implantant. Iels sont traditionnellement affilié·e·s aux daemonis qu’iels apaisent dans leur inéluctable sentiment d’insatisfaction en faisant brûler sur leur piqûre un encens dont les vapeurs les font divaguer des heures durant.

⭢ Les oracles de la terre, autrefois voué·e·s à n'avoir aucune spécificité, souffrant d’un mal-être physique indéfinissable, se sont trouvé·e·s à l’éclosion de la brèche. Une fois en contact avec les particules de l’explosion appartenant aux créatures maltraitées, la souffrance devint limpide, échos de leurs appels à l’aide désespérés. Leur affinité éveillée par ce biais, iels sont relié·e·s aux non mages contaminé·e·s qu’iels peuvent aider à se contrôler via la création de canaux d'énergie magique nécessaire à leur santé, les particules ne cessant de les calciner. La potion qu'iels préparent à l'aide de rituels, nommée Shadowbane, leur permet également de limiter la souffrance infligée aux Tracés. Iels perçoivent aussi les pertes de contrôle futures de celleux n’ayant encore aucune marque, et alertent les traceurs du danger.


Relations avec les humain·e·s : Suscitant l’intérêt des sorcier·e·s et plus encore du ministère car capables de "dompter" les fléaux, nécessaires à leur survie, iels sont très demandé·e·s et apprécié·e·s par la société. On ne peut toutefois s’empêcher d’éprouver un peu de crainte à leur contact, ces derniers délivrant autant un avenir parfois défavorable que possédant l’habilité de maudire son prochain.
branche instinct, visions et/ou rêves
branche énergie
legilimancie

Un·e moldu·e contaminé·e ne peut pas avoir d'autre particularité — iel n'étant pas sorcier et bénéficiant déjà de deux aptitudes. Les sorcier·e·s peuvent cumuler jusqu'à deux particularités de catégories différentes (exemple : un vampire ne peut pas être daemonis ; un·e fae ne peut pas être vélane).

HÉRÉDITÉ La legilimancie est un don apparaissant aléatoirement à la naissance. C'est une magie rare qui n'est ni héréditaire, ni systématique. Étant innée, il n'est pas possible de l'acquérir au cours d'un apprentissage.

CARACTÉRISTIQUES Les legilimens, sorcier·e·s possédant ce don, sont capables de lire les esprits, fouiller dans les souvenirs et entendre des voix. Sensibles aux pensées des personnes qui les entourent, il n'est pas rare qu'un·e legilimens se retrouvent coincé·e dans un état confus, tant les intrusions intempestives les rendent vulnérables. Il est nécessaire de pratiquer de manière régulière et intensive pour parvenir à occulter les voix parasites. En effet, un·e legilimens qui n'apprend pas à maîtriser son don se retrouve dans l'incapacité de faire taire les voix et pensées pénétrant son esprit et se retrouve prisonnier·ère de ses propres émotions. Les plus aguerri·e·s sont en mesure de filtrer le flot et ainsi laisser entrer ou non les voix. Leur expérience rend possible de pénétrer les pensées d'autrui afin de rechercher des informations bien définies — au sommet de leur maîtrise, les legilimens peuvent déceler des souvenirs trop profondément enfouis, des pensées totalement inconscientes ou des désirs souvent niés et réprimés.

RELATION AVEC LES HUMAIN·E·S Au sein de la communauté sorcière, les legilimens attirent la méfiance autant que l'intérêt. Chacun·e appréhende de communiquer des informations sensibles malgré elleux, d'autres craignent d'être leur cible et que leurs secrets inavoués soient à leur portée. Magie rare et recherchée, il n'est pas rare que les legilimens travaillent pour le gouvernement sorcier.
branche lecture
branche contrôle
metamorphomagie

Un·e moldu·e contaminé·e ne peut pas avoir d'autre particularité — iel n'étant pas sorcier et bénéficiant déjà de deux aptitudes. Les sorcier·e·s peuvent cumuler jusqu'à deux particularités de catégories différentes (exemple : un vampire ne peut pas être daemonis ; un·e fae ne peut pas être vélane).

Hérédité : Ce don est héréditaire mais pas systématique et se manifeste dès la naissance.

Caractéristiques : Les métamorphomages sont des sorcier·e·s ayant la capacité de changer d'apparence à volonté, sans s'aider de potions ou de sortilèges. La métamorphomagie touche l'ensemble du corps, de la pointe des cheveux jusqu'au bout des pieds, en passant par un changement d'âge et de genre. Il est également possible de s'affubler d'attributs animaux, comme un bec de canard, un museau de chat, des oreilles de chien. La transformation s'effectue par la visualisation de l'aspect recherché ; elle devient de plus en plus facile avec la pratique. Les vêtements et objets, quant à eux, ne se transforment pas il est donc nécessaire d'apprendre à les modifier en même temps que son apparence physique. Si la métamorphose est indolore, elle est néanmoins rendue plus ardue selon les modifications voulues. Il sera ainsi plus compliqué de changer drastiquement sa taille ou son âge que la couleur de ses yeux, puisque il nécessite de modifier son ossature ou de rajouter des rides artificielles. Plus la transformation est importante, plus il sera difficile de la conserver ; elle risquera également d'engendrer des douleurs articulaires.

L'apprentissage de la métamorphomagie est longue et difficile ; elle passe notamment par la maîtrise des émotions. L'humeur change l'apparence, notamment la couleur des cheveux et des yeux (par exemple, rouge pour la colère). Il est donc primordial pour un·e métamorphomage d'apprendre à dompter ses sentiments. L'imitation est une étape incontournable, il n'est pas rare de les voir observer leurs pairs afin de s'en imprégner, reproduire ce qu'iels voient, en passant par l'intonation de la voix jusqu'au plus petits tics d'expression. Iels prennent très vite conscience de chaque partie de leur corps comme d'une entité à part entière, qui peut donc subir des changements distincts les uns des autres.

Relations avec les humain·e·s : Très recherché·e·s par le gouvernement, les métamorphomages sont soumis·e·s à un recensement de la part du ministère de la magie, qui aime à les orienter vers des métiers où leur talent sera utilisé pour la bonne cause. Il n'est notamment pas rare de les voir devenir aurors. Les relations envers les autres sorcier·e·s sont généralement compliquées, si bien souvent iels font rire leurs pairs, iels provoquent également de la méfiance ; qui connaît dans son entourage un·e métamorphomage ne peut se fier à tout le monde, encore moins raconter ses secrets sans s'assurer de la véritable identité de son interlocuteur·ice.
branche apparence
branche mimétisme